Film à voir !


Infos supplémentaires

Acteur dans 33 films

Né(e) le 01 janvier 1999

Mort le 01 janvier 1964 (à -35 ans)

Robert Arnoux

Acteur dans

1965

  • La muerte viaja demasiado

1957

  • Le Triporteur
  • Une nuit aux Baléares
  • La garçonne

1956

  • La Traversée de Paris
  • Mon curé chez les pauvres
  • Voici le temps des assassins...
  • Orient Express

1954

  • Trois jours de bringue à Paris

1952

  • Mon curé chez les riches

1951

  • La nuit est mon royaume
  • La Belle andalouse
  • Barbe-Bleue

1950

  • Méfiez-vous des blondes
  • Les femmes sont folles
  • Entre onze heures et minuit

1949

  • Au Grand Balcon

1948

  • La Revanche de Baccarat
  • Rocambole

1947

  • Miroir

1942

  • Lettres d'amour
  • Frédérica
  • Le Prince charmant

1941

  • Chèque au porteur

1940

  • Sérénade

1937

  • Mademoiselle ma mère
  • Josette

1935

  • Princesse Tam Tam
  • Remous
  • Le Contrôleur des wagons-lits
  • Marchand d'amour

1934

  • Liliom

1932

  • Tumultes
Après avoir suivi des cours classiques au Conservatoire, où il croise notamment Charles Boyer et Pierre Blanchar, Robert Arnoux débute en 1917 à L'Odéon où il reste cinq ans. Il y interprète Becque et Musset[précision nécessaire]. Puis il passe au boulevard : Les Hommes, Le Paquebot Tenacity de Charles Vildrac, Lucienne et le Boucher de Marcel Aymé, Les Invités du bon dieu d'Armand Salacrou, etc. Il se lance dans une carrière cinématographique. Ses débuts coïncident avec l’arrivée du parlant en France. Il tourne d’abord pour la firme allemande UFA (Tumultes en 1931, Le Congrès s’amuse) en 1932), puis pour la Paramount Pictures (La Perle, 1932). Deux films (Mademoiselle ma mère en 1937 et Amédée en 1949) lui permettent de jouer la covedette masculine, mais il incarne rarement les premiers rôles. Arnoux apparaît malgré tout régulièrement dans de nombreux films à succès (le préfet dans Lettres d'amour en 1942, le profiteur du marché noir dans La Traversée de Paris en 1956 et un autre trafiquant dans Voici le temps des assassins en 1956) et donne la réplique à toute une génération de comédiens parmi lesquels Jean Gabin et Claude Brasseur.





0.013 sec